Le ministre

Mohamed Malainine Ould Eyih

Ministre de la formation professionnelle, de l’artisanat et des métiers

Brève présentation du ministre

Nom et prénom: Mohamed Malainine Ould Eyih

– Né le 15 décembre 1968 à Atar/Mauritanie

 Situation familiale: Marié et père de cinq enfants.

– 06 Aout 2024 nommé Ministre de la formation professionnelle, de l’artisanat et des métiers.

– Président du parti INSAF depuis le 03 juillet 2022.

– Du 31 mars 2022 au 06 septembre 2022 : Ministre de l’Education Nationale et de la Réforme du Système Educatif et Porte-parole du Gouvernement.

– Du 26 mai 2021 au 31 mars 2022 : Ministre de l’éducation nationale et de la réforme du système éducatif.

– Du 09 août 2020 au 26 mai 2021 : ministre de l’Education nationale, de la formation technique et de la réforme du système éducatif.

– 08 août 2019 au 09 août 2020 : Ministre de l’enseignement secondaire et de la formation technique et professionnelle.

– Août 2015 à août 2019 : Coordinateur du projet SWEDD pour l’autonomisation des femmes et le dividende démographique au Sahel (financé par la Banque mondiale).

– Juillet 2002 à août 2015 : Directeur de l’Institut national pour la promotion de la formation technique et professionnelle (INAP-FTP)

– D’octobre 1997 à juillet 2002 : Coordinateur du Centre de Ressources et de Suivi de l’Enseignement Technique et de la Formation Professionnelle (CRES).

Octobre 1995 à octobre 1997 : Expert/Consultant en ingénierie de formation au CRES.

– De septembre 1990 à octobre 1995 : Professeur d’enseignement technique au lycée technique de Nouakchott.

* Récipiendaire de la Médaille de la reconnaissance nationale.

– Master en sciences économiques avec une spécialisation en : Ingénierie de la formation et systèmes d’exploitation (Université des sciences sociales, Toulouse 1 – France).

– Maîtrise en enseignement technique / Centre supérieur de l’enseignement technique et ENNA Paris Nord.

Arabe – Français.

Les axes d’intervention du Ministère

Renforcement des Capacités

Améliorer les compétences, les ressources et l’efficacité des individus ou des institutions, afin de les rendre plus autonomes et performants dans l’accomplissement de leurs missions

Ce centre permettra de stocker les données numériques des citoyens et d’héberger les applications gouvernementales, tout en garantissant leur sécurité, leur intégrité, leur confidentialité et leur vie privée. Cela contribuera également à établir la souveraineté numérique de la Mauritanie.

Développement des métiers

Encouragement et la structuration des métiers à travers des certifications et l’accompagnement des professionnels dans divers secteurs. L’objectif est de garantir la qualité et la compétitivité des travailleurs locaux dans les différents domaines d’activité.

La préparation, la mise en œuvre et le contrôle des règles relatives aux conditions de travail et aux droits des salariés

Le développement, en concertation avec les départements ministériels concernés, de la coopération bilatérale et multilatérale et des échanges en matière de modernisation de l’Administration

Promotion de l’artisanat

Développement et la valorisation des métiers artisanaux, qui jouent un rôle crucial dans l’économie locale. Des initiatives sont mises en œuvre pour soutenir les artisans à travers des formations, des aides à la commercialisation et des opportunités de partenariat.

Etudier, proposer et prendre, de concert avec les administrations intéressées, toutes mesures susceptibles de favoriser le développement des activités en matière de l’innovation et des activités connexes

Mettre en place les outils de coordination de l’action de l’Etat en matière de développement de l’innovation

Formation professionnelle

Mise en place de programmes de formation visant à améliorer les compétences et l’employabilité des jeunes et des travailleurs en activité. Le but est de répondre aux besoins du marché de l’emploi tout en favorisant l’inclusion sociale et la réduction du chômage.

La détermination et de la mise en œuvre des choix stratégiques en matière des TIC

La mise en place d’un cadre juridique et institutionnel adapté au développement des postes, des télécommunications et des TIC, en tenant compte des principes d’éthique et de déontologie dans ces domaines